Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d’humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.

dans le doublage qui est responsable.

Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d'humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.
Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d’humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.

Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d’humididité intérieure dans le doublage qui est responsable…

Décollement de peinture, infiltrations et humidité dans le doublage : responsabilité et nécessité d’une expertise

Trois ans après la réception d’un chantier, l’apparition de désordres tels que le décollement de la peinture, des infiltrations d’eau au niveau d’un tableau de menuiserie et une humidité persistante dans le doublage intérieur sont des signes préoccupants. Ces manifestations traduisent une défaillance de l’étanchéité à l’eau ou de la protection des bois et revêtements, susceptibles d’affecter la pérennité de l’ouvrage.

1. Nature du désordre et constat initial

Le décollement de la peinture au droit d’une menuiserie indique généralement un défaut d’adhérence lié à une préparation inadéquate du support, à une mauvaise compatibilité entre les couches de finition ou à des infiltrations d’eau. Le fait que l’humidité se propage dans le doublage intérieur montre que la pénétration d’eau n’est pas seulement superficielle : elle provient d’une faille dans la continuité de l’étanchéité entre le tableau maçonné et le dormant de la menuiserie.

Conformément au DTU 59.1 (Travaux de peinture des bâtiments), les supports doivent être sains, secs et exempts de toute trace d’humidité avant mise en peinture. Le non-respect de ces conditions conduit fréquemment à un décollement prématuré du film de peinture. Par ailleurs, le DTU 36.5 (Mise en œuvre des fenêtres et portes extérieures) impose que la jonction entre la menuiserie et le gros œuvre soit durablement étanche à l’eau et à l’air, notamment grâce à des dispositifs d’étanchéité adaptés (bandes compribandes, mastics ou membranes selon le cas).

Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d'humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.
Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d’humididité intérieure

2. Responsabilité potentielle des intervenants

Dans le cas présent, l’ouvrage n’ayant que trois ans, il est toujours couvert par la garantie décennale (article 1792 du Code civil), applicable aux désordres compromettant la solidité ou rendant l’ouvrage impropre à sa destination. L’humidité dans les doublages pouvant provoquer le développement de moisissures et l’altération des matériaux, il s’agit d’un désordre relevant potentiellement de cette garantie.

Le maître d’œuvre ou l’entreprise de menuiserie pourrait voir sa responsabilité engagée si la cause provient d’une mauvaise mise en œuvre (absence ou défaut de joint d’étanchéité, pose non conforme au DTU). Si, au contraire, l’origine est liée à un défaut de conception du détail constructif ou à l’absence de protection adéquate contre les eaux de ruissellement (larmier, bavette, rejingot défectueux), la responsabilité du concepteur ou du maître d’œuvre peut être retenue.

3. Nécessité d’une expertise technique indépendante

Avant d’engager une action ou des réparations, il est fortement conseillé de recourir à un expert en bâtiment indépendant, tel qu’un cabinet certifié comme NF Expertise. Ce type de professionnel dispose de compétences techniques et d’un cadre méthodologique conforme à la norme NF EN ISO/CEI 17024 (évaluation de la compétence des personnes) et peut s’appuyer sur les référentiels du CSTB et de l’Agence Qualité Construction (AQC).

Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d'humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.
Au bout de 3 ans, la peinture se décolle avec présense d’humididité intérieure dans le doublage qui est responsable.

L’expert procèdera à :

  • une inspection visuelle et hygrométrique du tableau et du doublage ;

  • une recherche d’humidité par mesure capacitive ou infrarouge ;

  • une analyse de la conformité de la mise en œuvre au regard des DTU 36.5 et 59.1 ;

  • et la rédaction d’un rapport d’expertise documenté permettant d’identifier la cause exacte et de déterminer les responsabilités.

4. Conclusion

Compte tenu du délai de trois ans et de la nature des désordres, il est indispensable de faire appel à un expert indépendant pour objectiver l’origine de l’infiltration et garantir une solution pérenne conforme aux normes en vigueur. Cette démarche facilitera la mise en œuvre des recours éventuels au titre des garanties légales et évitera la répétition des désordres sur le long terme.

Comment traiter les problèmes de fuites d’eau sournois qui engendrent des problèmes d’humidité résiduels graves sur VANNES 56000

Comment traiter les problèmes de fuites d’eau sournois qui engendrent des problèmes d’humidité résiduels graves sur VANNES 56000…

Comment traiter les problèmes de fuites d'eau sournois qui engendrent des problèmes d'humidité résiduels graves sur VANNES 56000
Comment traiter les problèmes de fuites d’eau sournois qui engendrent des problèmes d’humidité résiduels graves sur VANNES 56000

Les conséquences de l’intrusion d’eau et d’humidité dans les bâtiments : un enjeu majeur de durabilité

L’eau et l’humidité constituent l’un des principaux facteurs de dégradation du bâti. Dès lors que les supports extérieurs (enduits, joints de façade, toitures, menuiseries, systèmes d’étanchéité) présentent des défauts, l’infiltration devient inévitable. Or, cette intrusion ne se limite pas à une simple gêne esthétique : elle déclenche un processus pathologique complexe qui, en l’absence de traitement des causes, peut compromettre la sécurité et la pérennité des ouvrages.

Les manifestations visibles et invisibles

La première conséquence observable réside dans l’apparition de salpêtre, résultat de la migration des sels solubles transportés par l’eau dans les maçonneries. Ce phénomène s’accompagne d’un taux d’humidité supérieur aux valeurs admissibles. Selon la norme NF EN ISO 13788, le taux d’humidité massique d’un matériau ne doit pas excéder 5 % pour la plupart des bétons et mortiers, tandis que l’air intérieur doit se maintenir entre 40 et 60 % d’humidité relative pour éviter condensation et moisissures. Or, dans les bâtiments infiltrés, ces seuils sont fréquemment dépassés.

Comment traiter les problèmes de fuites d'eau sournois qui engendrent des problèmes d'humidité résiduels graves sur VANNES 56000
Comment traiter les problèmes de fuites d’eau sournois qui engendrent des problèmes d’humidité résiduels graves sur VANNES 56000

Au-delà de ces signes apparents, l’humidité attaque les structures. Dans les poutrelles béton armé, la pénétration d’eau favorise la corrosion des aciers. La réaction d’oxydation provoque une augmentation de volume des armatures (jusqu’à +80 %), exerçant une pression interne suffisante pour fissurer puis éclater le béton. Ce phénomène est aggravé en période de gel : l’eau contenue dans les fissures augmente de volume d’environ 9 %, accentuant l’éclatement du matériau.

Les conséquences structurelles et sanitaires

À terme, ces processus entraînent :

  1. Affaiblissement mécanique : la corrosion réduit la section efficace des aciers, compromettant leur rôle porteur. Des désordres graves allant jusqu’à l’instabilité locale des planchers peuvent apparaître.

  2. Altération de l’isolation thermique : un mur humide voit sa conductivité thermique multipliée par 2 à 3, ce qui accroît les besoins énergétiques.

  3. Développement de moisissures : un environnement à plus de 70 % d’humidité relative favorise la prolifération fongique, source de pathologies respiratoires (norme NF EN 15251 sur la qualité de l’air intérieur).

  4. Perte de valeur patrimoniale : fissurations, cloquages d’enduits et décollements de peintures altèrent l’esthétique et réduisent la durabilité des bâtiments.

L’intérêt d’une expertise spécialisée

Face à ces enjeux, l’intervention d’un expert indépendant, tel que le cabinet NF Expertise implanté à Vannes et Nantes, s’avère essentielle. Spécialisés dans les pathologies liées à l’humidité et aux infiltrations, ces experts disposent de méthodologies normées pour identifier les causes profondes : sondages destructifs, mesures hygrométriques selon NF EN ISO 12571, tests d’étanchéité, endoscopies de parois.

Leur mission ne se limite pas au constat : ils établissent un diagnostic différenciant infiltration (défaut d’étanchéité), remontées capillaires, condensation interne ou accident de réseau. Sur cette base, ils formulent des préconisations correctives conformes aux normes en vigueur (par exemple, DTU 20.1 sur les ouvrages en maçonnerie, DTU 26.1 sur les enduits, ou encore DTU 43.1 sur l’étanchéité des toitures).

Une action préventive et économique

Corriger uniquement les symptômes – en repeignant ou en réparant superficiellement – sans traiter la cause de l’intrusion revient à repousser le problème. Les désordres réapparaissent rapidement et s’amplifient. L’expertise technique permet au contraire de cibler les interventions efficaces, de limiter les coûts de réparation et de préserver la durabilité des ouvrages.

En définitive, ignorer les intrusions d’eau et d’humidité conduit à une spirale de dégradations structurelles et sanitaires. À l’inverse, solliciter un cabinet spécialisé tel que NF Expertise sur Vannes et Nantes, reconnu pour son savoir-faire dans ces typologies de bâtiments, constitue une démarche rationnelle et conforme aux bonnes pratiques normatives. C’est un gage de sécurité, de santé et de préservation du patrimoine bâti.

Comment traiter les problèmes de fuites d'eau sournois qui engendrent des problèmes d'humidité résiduels graves sur VANNES 56000
Comment traiter les problèmes de fuites d’eau sournois qui engendrent des problèmes d’humidité résiduels graves sur VANNES 56000